Chambre d'Anna

Warren, était en train de se promener dans l'école. Venant d'arriver dans celle-ci, il se demandait de quoi elle avait lair. Un bruit sourd retennu son attention. Un genre de ''Boom'' comme si une personne viendrais de tomber ou quelque chose du genre. Se fiant a ses oreilles, il marcha vers le bruit ou il l'avait entendu.

Rendu dans la pièce en question, Warren ne cétait pas tromper, c'était bien quelqu'un... quelqu'une plutôt, qui venais de tomber. Il entra dans la pièce, d'un pas rapide et alla vers la fille en question. Il lui dit:

- Rien de casser? puis en gentil homme quil était, il lui présenta sa main pour laider a se relever.

Anna eu un mouvement de recul en voyant sa main tendu vers elle. Puis, se ressaississant, elle essaya de se se relever. Elle dut néanmoins s'appuyer sur le chaise.

- Je crois que ça va aller...

Warren souria tout de même. Elle avait refusé sa main, donc il la repris.

- Je suis désolé, j'aurais du frapper avant d'entrée... je me nomme Warren en passant. Ne voulant pas la brusquer, il attendi patiament qu'elle prenne la parole.

Elle lui sourit timidement . * Quelle belle première impression*

- Je m'appelle Anna. Ce n'est rien opur e qui est d'entrer sans frapper... Elle se mit lentement sur ses pieds, mais en essayant de rester debout, une douleur lui traversa le genou. Elle alla s'assir en clopinant sur son lit.

Voyant que sa jambe lui faisait souffrir, Warren lui demanda poliment:

- Puis-je? J'ai un pouvoir fort utile, je suis guérisseur. Je pourrais vous guérir de se mal... Il attendit qu'elle parle avant de sexsécuté. Sachant très bien que la toucher sans son consentement serait mal vu. Il avait toujours se petit sourir charmeur sur le coin de ses lèvres.

Guère rassurée, elle baissa la tête et demanda. du bout des lèvres:

-En quoi ça consiste, exactement?

- Un guérisseur guéris les blaissures. Je pourrais vous a lèger le fardeau de votre douleur.
Pour mieu lui faire comprendre, il pris un poignard qu'il avait sur lui puis, sentailla le dessu de la main. Le sang nu pas le temps de couler que la petite blaissure se referma aussitot après lapparition de la faible lumière blanche.

Je fis un saut énorme en voyant le sang saigner, mais en oyant son pouvoir je me dis qu'il ne puvait pas me faire plus de mal que de bien.

-C'Est d'accord.

- Parfait! fit-il heureux de lui même après cette petite démonstration... quoique horrible mais éfficasse. Il mis ses deux mains au desous de la jambe de sa '' patiente ''. Une douce lumière blanche entoura la jambe de la jeune fille puis disparut avec le mal.

Avec un sourir triompheur, il lui dit:
- Voilà. Une nouvelle jambe toute neuve pour vous cher Anna.

Je m'éloignai de lui, ne me sentant pas très à l'aise. Je me dis que je devenais réellement paranoiaque. Ma jambe ne me faisait plus mal du tout.

-Merci énormément. Elle lui fit un grand sourire.

Warren recula d'un pas, voyant qu'il était trop proche d'elle et qu'il envaisait son espace de confort.
- Tout le plaisir est pour moi, je déteste voir quelqu'un souffrir. Souriant toujours il ne savais plus trop quoi dire. Il avait pensé de partire mais cru que se ne serait pas vraiment courtois de sapart de partir sans rien dire.

Regardant sur le sol pour la première fois. Warren remarqua une petite feuille de papier qui trainnait à ses pieds. Il se pencha pour la ramasser puis regarda le magnifique dessin.

- Ceci est a vous je crois... fit-il en lui tandant le dessin.

Je rougis légèrement. Il n'y avait qu'une seule autre personne à avoir jamais v ce dessin... Bien sur, en l'accrovhant dans ma chambre, je savais bien que quelqu'un finirait par le voir. Je ne m'attendais simplement pas a ce que ce soir soit si vite, ni qu'un garçon viendrait si rapidement dans ma chambre.

-Euh....oui. Je lui reprit le dessin en m'assurant de ne pas lui dauter dessus dans ma hâte de le faire. Je me dis que ça pourrait nuire à mon statut de personne normale et saine d'esprit.

- Vous avez bescoup de talent Anna... J'ai toujours aimé l'art mais la vie ne ma pas offet se beau dont dit-il en souriant. Mais je me débrouille avec la musique.

* Oui, c'est ca! comme si elle en avait quelque chose a sirer que tu aimes la musique.* pensa t-il interieurement.

-Vraiment! J'adore aussi la musique... j'ai toutjours voulu jouer du violon, mais personne 'a jamais voulu me montr coment jouer. Pour ce qui est de mon talen en art, c'Est un don que j'ai hérité de ma mère il parait. Je ne sais pas trop comment je fais, j'essaye de reproduire dans le moindre détails ce que je vois ou ce que j'imagine.

L'art et la musique étaient des sujets qui me passionnait réellement. Je n'avais même pas à me forcer pour parler, le mots venaient à moi et coulaient comme de l'Eau sur ma langue.

*Bon, je m'étais peut-être tromper pour se qui est de la musique finalement* pensa t-il avant de lui répondre:

- La musique est ma facon préféré de communiquer, pas besoin de mots.. c'est simplement un song mélodieux qui peux vous faire resentire tant d'émotion à la fois. L'art est un autre moyen d'exprimer ses sentiments. Tristesse, colère, amour, joie... C'est vraiment pationant vous ne trouvez pas?

-C'est bien vrai. On est plutôt sur la même longueur d'ondes. C'est important de réusir à exprimer qui on est. De quel instrument jouez-vous?

Je me posais pas mal de questions sur comment il avai appris à faire de la musique.

- J'adore la guitare, mais mon instrument préféré est le piano... je me débrouille quand même avec le violon mais je ne suis pas très doué avoua t-il simplement. Mon père était musicien à ses heures. Ont jouaient souvent ensemble lui et moi autrefois.

-T'arrive-t-il de le revoir souvent ? Je ne voulais aps être indiscrète, mais je me posais des questions sur ce jeune homme. Il avait l'air assez gentil, mais il y avait quelque chose de mistèrieux chez lui...

Warren souria tristement même s'il s'avait qu'il avait fait le deuil de son père il y avait un bon moment déjà.

- Seulement en rêve puisqu'il est mort il y a quelques années dit-il sans tristesse ni joie dans la voix. Ne voulant pas qu'elle se sente mal puisqu'elle ne savait rien de cela il s'empressa de dire:

- La vie est cruel parfois mais il ne faut jamais abandonner, je sais qu'il est heureux maintenant d'être dans les cieux.

-Tu crois vraiment qu'il existe un paradis. Un tel endroit me semble trop irréel pour exister. Non, mais si Dieupardonne tout le monde, alors il ne devrait pas y avoir d'enfer et je doute que les meurtriers ou les ...violeurs changent après leur mort.

Elle parlait beaucoup pour dissiper le malaise qui avait suivit sa question.

- Dieu pardonne tout le monde il est vrai. Je ne crois pas vraiment en lucifer par contre. Selon moi, l'enfer est la terre. Le vrai enfer est que notre âme ne puisse pas être séparée de notre corps qui est comme une prison. Puis je crois aussi que nous nous réincarnons tant et aussi longtemps que notre âme n'est pas aquit la sagesse nesescaire pour intégré le royaume des cieux. Donc, si un meurtrier ou un violeur meur, il se réincarne dans un autre corps jusqu'à ce qu'il est compris que faire le mal ne pourra pas l'emporter au paradis, il restera donc en enfer, qui est la terre... expliqua t-il à Anna

- Et maintenant la question est, si il y a un enfer, pourquoi le paradis serait irréel? se questionna t-il après avoir terminer. Mais bon, se n'est que mon opinion personnelle sur le sujet.

Je réfléchis un moment à ses propos. Il est bien vrai que, en considérant l'enfer comme la terre, le paradis pouvait bien exister. Je n'avais jamais vraiment réfléchis à la question auparavant et cela me destabilisait un peu. Tant de questions sans réponse...

-Ça a bien du sens. On dirait que tu y a déjà bien réfléchis.

- Il faut bien s'occuper à se convaincre lorsqu'un de nos proche décède sans prévenir. souria t-il. Il y avait réfléchis des centaine de fois après la mort de sa mère. Il était vraiment étrange pour de parler à quelqu'un de sa théorie puis qu'il n'avait jamais vraiment eu locasion d'en parler profondément avec quelqu'un.

-Ma mère aussi nous a quitter, mais je crois que j'étais trop jeune pour y réfléchir pleinement. Je baissai la tête en me rappelant son sourire, le seul souvenir bien ancré que j'avais d'elle. On s'en ai qand même bien sortis père et moi. Et puis... J'arrêtai ma phrase et me morditles lèvres, en ayant déjà trop dit.