Prénom:Anna
Âge: 16 ans
Race:Humaine
Histoire: Tout a commencé le jour où mon père a ouvet la porte à un étranger. Cette seconde, ce simple geste de bienveillance fut le premier pas de ma décadence....
Je suis fille unique. Ma mère est morte lalorsque j'avis à peie huit ans. Depuis ce temps, mon père m' élevé du mieux qu'il a pu, me laissant souvent seule pour aller travailler. Mon père était le messager de confiance des seigneurs habitant près de chez nous. algé tout l'effort qu'il y mettait, mon père n'avait jamais été un grand bavard et il aimait la solitude. Une distance finie donc pour s'installer entre nous.
Ce style de vie avait tout de même ces avantages. J'appris très tôt a me débrouiller seule et, pour une fille assez réservée dans mon genre, la poids de la solitude n'était pas trop lourd à porter. Aussi, mon père possédait une très grande bibliothèque rempie de cartes et de romans. J'étudiai donc l géographie et l'histoire de notre territoire lors de ces longues absences.De plus, je passai de longues journées assise près d'une fenêtre, un roman d'amour entre les mains.
Les grandes histoires d'amour me fascinaient. Je ne comprenait rien à ce sentiment si puissant et effrayant. Je me mis donc malgré moi à réver du prince charmant. Je commencai aussi à faire mes propres compositions. Ma nature rêveuse m'aidait énormment à trouver de l'inspiration.
Mais tout ceci était avant. avant son arrivée dans notre vie. Je m'en souviendrai toute ma vie comme si c'était hier. La nature étaitdéchainée en cette fin d'après-midi. Un orage énorme venait d'éclater dans la région. Mon père et moi étionsen train de dîner lorsqu'on sonna à la porte. J'allai ouvrir. mon père sur les talons. Un étranger se tenait sur le perron de notre demeure. Il était assez grans et ne semblait aps avoir plus de 19 ans. Ce n'était pas un dieu incarné , néanmoins il n était assez proche. nous le fîmes entrer et il nous demanda l'hébergement pour la nuit.
Mon père accepta de le recevoir pour cette soirée et je lui servit un repas chaud. Puisqu'il était trempé, mon père le fit monter à l'étage et lui fit enfiler des vêtements plus chauds. Je mis ses vêtements à sécher et montai préparai la chambre d'invité. J'étais en train de mettre les draps sur le lit lorsqu'il entra. Je ne crois pas qu'il me vit. Il déposa ses armes et les installa en rangées bien nettes sur la comode.
Je détournai le regard et retournai à ma tâche. Lorsque je levai finalement les yeux, il me regardait. Je soutint son regard pendant un moment , mais à la vue des armes, je baissai les yeux. Il me demanda s'il me faisait peuré Je bredouillai que non, mais que je trouvais ces armes quelques peu intimidantes. Il partit d'un grand éclat de rire et il me dit que si je voulais pouvoir me défendre dans la vie, je devrais moi aussi apprendre à les manier.
Je lui répondit que les femmes apprenaient rarement à se battre et que jamais mon père ne voudrais me le montrer,. Il me répondis, un drole de sourire au coin de lèvres, qu'il accapterait, lui.Une lueur d'espoir c'était allumer au fond de mon regard. En fasant ma sortir , je lui glissai que mon père cherchait un élève pour lui transmettre son métier. cela ne me ressemblait pas, d'être aussi audacieuse, mais, j'ignorais pourquoi, je me sentait bien avec lui.
Le lendemain, l'étranger fit part de son désir de se trouver un métier avantureux à mon père, qui sauta sur l'occasion pour lui faire son offre. Il se hâta d'accepter, à ma plus grande joie. nous échangeâmes un sourire complice et se fut le début de la fin.
À partir de ce jour, je passai chaque instant libre avec lui, lorsqu'il n'était pas en voyage. Il m'appris en effet à manier les armes et je lui lu une partie de mes compositions. Il devint mon confident, mon ami, je lui confiais tout se qui me passait par la tête.
J'avoue qu'il était plus qu'un ami à mes yeux. Sa façon de me sourire, de me tenir la main, e m'encourager. Tout en lui, jusqu'au son de sa voix, m'attirait. Néanmoins, il ne m'avait jamais encouragé dans cette voie ni n'avait démontrer le moindre sentiment amoureux à mon égard.
Je croyais qu'il n'y aurait jamais rien de plus entre nous deux. Jusqu'au soir où mon père fut convier pour délivrer un missice de la plus haute importance . Ce soir-là, la relation entre moi et lui changea du tout au tout, mais pas de la façon que 'aurais crue.
Je me couchai très tôt cette soirée-là. La journée avait été plutôt ardue et je me sentait éreintée. Je mis ma chemise légère de nuit et passé avec satisfacton les couvertures sur mon corps. Je m'endormie quelques instants d'un sommeil sans rêve.
Ce sommeil ne dura pas longtemps toutefois. Je fut réveilée par le son d'une respiration tout près de moi. J'ouvris les yeux grands ouverts, mais me calmai lorsque je reconnu la silhouette à mes côtés. Il passa une main dans mes cheveux et mon coeur fit un bond dans ma poitrine. Je me tournai vers lui, appuyant ma tête contre son épaule.
Cependant, il semblait vouloir un peu plus que cela. Il mis sa min sous mon menton et leva mon visage. Il apuya ses lèvres contre les miennes et m'embrassa doucement.Son baiser réveilla en moi un sentiment incroyable et je me laissai aller, l'embrassant amoureusement.
Je me rendis compte que les choses échappait à mon contrôle lorsque sa bouche se fit plus pressante contre la mienne. Il tourna sur lui-même, se mettant par la même occasion au-dessus de moi. Je tentai de le repoussser gentiment, trouvant que les cses étaint allai assez loin pour cette soirée, mais il recolla son corps contre le mien. Je tentai de l'arrêter, mais je savais d'avanc qu'il était bien plus for que moi.
Arrête, réussis-je a bredouiller. Il me répondit de me taire et ses lèvres décendirent le long de mon cou et ses mains se mirent à se balader sur mon corps. Je frémit et à partir de ce moment, je fis une barrière entre mon corps et mon esprit. Il viola mon corps et meurtrit mon coeur, mais je me promis que jamais il ne toucherais à mon âme.
Il se produit à ce moment quelque chose de si inexpecté que même moi en fut surprise. Un réel bouclier se dressa entre lui et moi . Cette énergie l'envoya contre le mûr, l'assomant. Je m'habillai rapidement et , lui volant son poignard je m'enfuis de cet endroit que restera à jamais maudit dans mon esprit.
Depuis ce temps j'erre dans les forêts. Losque j'entendis parler de cette école pour la première fois, j'y vis une seconde chance qui se présentait devant moi, c'est pourquoije désire venir y vivre.
Pierre précieuse: La Perle
Pouvoirs: Bouclier d'énergie, glace.
Éléments: L'air
Armes: Baton, arc, poignard
Rôle:Élève